Endless War
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Oksana Chevchenko

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MessageSujet: Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Icon_minitimeMer 1 Juin - 23:52

Que dire de cette journée plutôt pluvieuse? Magnifique? Certainement. Car la pluie attristait les gens les plus joviales, et ça, ça plaisait bien à un scientifique. Ce dernier était dans son laboratoire. Bon d'accords, il n'y avait en aucun cas une fenêtre, mais il pouvait sentir que ses collègues étaient plus calmes que d'habitude, et ce grâce à l'eau qui tombait du ciel. Habillé comme à son habitude d'un pantalon noir, d'un mocassin et d'une chemise blanche avec une cravate, il avait aussi penser à mettre une blouse blanche à laquelle dépassait d'une poche un stylo à encre noir. Il était face à un microscope et regardait dans les microbes qu'il avait crée avec un autre collègue afin d'y glisser dans une ovule d'une femme, pour voir quel sorte d'enfant elle mettra au monde d'ici neuf mois. Enfin si cela marchait. Monstrueux? On pouvait le nommer ainsi, mais cependant il ne faisait que son métier. Ou du moins celui que son père lui a légué après qu'il se soit fait tuer par un lycan. Il était seul dans la pièce, tranquille, aimant alors la solitude et le silence qui régnait ce laboratoire. Cependant, quelqu'un vint troubler son petit moment. En effet, une jeune fille qui devait avoir à peu près son âge, soit dix-huit ans, arriva en ces lieux un grand sourire aux lèvres et avec deux morceaux de papier dans la main droite.

"Tu sais Oksana où nous allons aller ce soir?"

L'ukrainien ne put s'empêcher de lui jeter un regard mauvais. Qu'est-ce qu'elle avait à le coller comme ça? Encore à vouloir le faire sortir de son "trou à rat"? Et quoi encore? Le jeune scientifique avait deviné qu'elle était dans cette pièce rien que pour lui proposer une sortie. Deux jours avant, ils étaient allés à un cirque. Pitoyable de maltraiter des animaux pour qu'ils fassent un tour sur eux-même. Ils ont fait qu'une sortie ensemble et pourtant il trouvait ça ennuyeux. Pourquoi avait-il accepter de sortir de temps en temps avec elle? Hmm... peut-être qu'il n'avait pas eût le choix. Il avait été menacé. Et même si il se fichait qu'on le frappe, il ne se fichait pas de devenir inhumain.

"Non, je ne sais pas, mais tu vas me le dire?"
-Au ci-né-ma♥

Oksana fit de grands yeux. Au cinéma? Et quoi encore? C'était pour l'abrutir avec des films non réalistes? Non mais, elle pouvait toujours courir. Il se retourna deux secondes pour prendre le petit carré de verre avant de le mettre à l'aide d'une pince dans un bocal. Puis, il rangea l'objet dans un placard qu'il ferma à clé avant de regarder alors sa collègue.

"Tu disais?"
-Que nous allons au cinéma ce soir.
-Tu es sérieuse?
-Oui?
-Vraiment?
-Oui.
-Et si je veux pas?

Sa collègue se dirigea vers lui, d'un air sensuelle. Il recula de quelques pas, avant de se faire bloquer par le bureau qu'il insulta de traitre en ukrainien. La jeune fille le bloqua en mettant alors ses mains sur le bord de la table, entourant alors le pauvre scientifique qui pesta contre le fait qu'elle le regardait avec un sourire digne d'un psychopathe.

"Et ben, si tu ne veux pas, je crée un gêne spécialement pour toi qui te permettra d'être pire que ces créatures que tu détestes. Tu n'as pas envie d'être comme eux, n'est-ce pas?"
-Mais tu sais que si tu veux me transformer en mutant, il faudra mettre ce gêne dans mes molécules, hors j'en ai énormément, et tu vas donc mettre longtemps à s'occuper de mon cas.

La jeune scientifique se mit alors à rire légèrement avant de répondre en riant:

"Bien et le feu? Ça fait quoi si je te brûle? Ou alors que je te fais mon prisonnier et que je brûle tout et n'importe quoi devant toi?"
-T'as gagné. C'est à quelle heure?
-Dix-neuf heures devant le cinéma. Et attention si je ne t'y trouve pas!

*****

"Oh, Gertrude, tu sais que je n'aimerai que toi."
-Mais voyons, comment peux-tu me quitter ainsi? Je... j'ai peur pour toi!
-Je dois partir pour la guerre, je suis désolé.
-Comment oses-tu?
-On me force, c'est jusque je fais ça pour toi. Je vais te sortir de la misère.
-François... Je... Je t'aime!!

Les deux personnages s'embrassèrent devant tout le public sur la grande toile blanche. Comment pouvait-on produire un tel navet? Il fallait immédiatement exécuter ce réalisateur et ce producteur, ainsi qu'aussi les acteurs. Non mais. Pourquoi donnait-on le rôle de jeunes adolescents de seize/dix-huit ans à des personnes qui en ont bien plus de vingt-cinq? Puis tout était faux, tout, absolument tout! Le film se passait au XVI ème siècle. Comment une femme pouvait-elle ronchonner contre le roi sans se faire emprisonner? A cette époque, les femmes étaient considérées comme des êtres inférieures et n'avaient donc pas le droit de dire leur mot. Puis aussi, pourquoi est-ce que les hommes portaient de la lacque? Et encore mieu! Qu'est-ce que fiche un homme en basket dans le décor? Non mais, un vrai navet! Combien avait payé les tickets de cinéma sa collègue histoire à ce qu'on la rembourse? En tout cas, ce film semblait lui plaire. Elle pleurait à chaudes larmes devant cette scène si mal tournée. Oksana lui, baillait et commençait à dormir sur place. Soporifique, il n'y avait rien à dire d'autres sur ce film. Ils étaient déjà là depuis près d'une heure et demie et il se passait pratiquement rien. Là, enfin, un peu d'action... le jeune homme part.

L'ukrainien laissa échapper un soupire. Un long soupir. Celui qui voulait bien dire "mais qu'est-ce que je fiche ici?". Peut-être qu'il aurait été mieux ligoté à un poteau regardant alors la phobie de sa vie: le feu. Oui, c'était sans doute mieux. Combien de temps restait-il à passer devant ÇA? Il n'en savait rien, mais il comptait que si il fallait une heure et demie pour l'acteur à partir de chez lui à la guerre, alors il en faudrait une heure et demie pour y passer, et une heure et demie pour en revenir. Soit donc un total de quatre heures et demie. Il avait envie de demander à ce qu'on lui donne un pistolet histoire à se suicider. Non parce que le film était triste, mais plutôt parce qu'il était très niais.

"Comment ferais-je sans mon amour?"
-Bah suicide-toi, comme ça j'peux partir.
-Mais chuuuteuh!

Il se reçut une petite tape sur la cuisse de la part de sa collègue qui était à fond dans le film. Il passa une main sur le visage avant de se lever et de mentir à la demoiselle:

"Je vais aux toilettes."
-Avec ton manteau?
-J'ai froid.

Il se dirigea alors enfin vers la porte pour y passer avant de la passer. La lumière soudaine lui fit un peu mal aux yeux. Il s'adossa contre le mur juste à côté de la porte, se passant alors une main sur le visage.

"Mais quel navet ce film..."


Dernière édition par Oksana Chevchenko le Dim 5 Juin - 0:06, édité 1 fois
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Daphne Brittle

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MessageSujet: Re: Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Icon_minitimeJeu 2 Juin - 1:51

On lui avait déjà dit plusieurs fois qu'elle avait une mine fatiguée. Ca, elle le savait depuis longtemps. Cette mine, c'était devenue naturel chez elle. Elle, Daphne. Elle s'en fichait. Mais comme l'an quarante mille avant le machin avec une auréole. Son apparence, qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire ? Et puis aujourd'hui, elle était contente. Il pleuvait. Des cordes. Juste ce qu'il fallait pour faire revenir un visage aussi sombre qu'à un enterrement aux habitants de cette île. La tristesse des autres faisait le bonheur de Daphne. Mais ce n'était pas quelque chose qui se faisait réciproquement. Le bonheur des autres faisait la colère de Daphne. Affreux. Les personnes qui souriaient trop à son goût finissait quelque part où personne ne les retrouverait. Mais au fond, elle le savait. Elle savait que si les autres scientifiques avec les chromosomes XX ne lui faisait que des reproches sur son visage, sa mine fatigué, les cernes sous ses yeux, c'était parce qu'elles étaient jalouses. Daphne se savait belle. Elle, contrairement aux autres, n'a jamais eu besoin de passer des heures dans une salle de bain. Elle, contrairement aux autres, n'avait jamais eu besoin de chercher dix ans une tenue qui pouvait mettre en valeur tel ou tel partie du corps. Elle, contrairement aux autres. Ne sortait quasiment jamais de son laboratoire. Non, elle ne pouvait se permettre ce genre de chose. Dans son laboratoire, il y avait trop de monde. Trop de gens à faire souffrir. Chaque jour, elle pouvait voir sur le visage de ses cobayes la peur. La souffrance. Elle en faisait tomber plus d'un. Quelques fois, certains mouraient dans leur cage, sans qu'elle n'eut le temps de leur faire découvrir la douleur de passer sur son bloc opératoire. Parfois, elle se dit qu'il faudrait qu'elle soit un peu plus gentil avec eux. Leur donner plus de nourriture. Leur procurer des vêtements chauds les jours de froid comme celui-ci. Et puis. Elle se souvient qu'elle ne pourrait plus entendre ces gémissements qui lui sert souvent de berceuse lorsqu'elle s'endort dans son labo. Oui. Elle aimait les faire souffrir ces petites bêtes. Et ne se gênerait absolument pas pour continuer.

Mais non. Aujourd'hui. Malheur. Aujourd'hui, on lui avait prit la main. Elle avait protesté. Très fort même, elle en était venue jusqu'à utiliser son pouvoir -appelons ça comme ça- pour lancer un calepin sur la tête de son ravisseur. Ravisseur qui avait plutôt l'air content de se recevoir ce genre de chose en pleine figure. Masochiste, très certainement. Mais son kidnappeur, elle ne le connaissait que trop bien. C'était un autre scientifique de la section d'à côté. Section qui devrait être débordée puisque c'est elle qui s'occupe de toute la paperasse. C'est elle qui s'occupe d'envoyer les cobayes dans tel ou tel labo. C'est aussi elle qui traite les documents que les scientifiques "manuels" ne font pas et qui sont à l'extrême limite de l’engueulade. Oui. Cet homme qui avait osé prendre le poignet si gracieux de la jeune fille. C'était lui qui s'occupait de ses papiers. Il devait par ailleurs finir celui pour le transfert d'un nouveau cobaye du labo trois à son labo personnel. Mais non. A la place, il l'emmenait dans un coin où personne n'allait. Il l'avait regardé droit dans les yeux et demandé très sérieusement :
    « Daphne..... Tu veux bien sortir avec moi ?
    - Crève connard. Je devrais te tuer pour m'avoir interrompu en plein travail. Maintenant fini mes papiers et ne joue pas à l'idiot. »
Daphne a toujours été le genre de femme à avoir beaucoup de demandes. Et le genre de femme à refuser toutes les demandes aussi. En vingts petites années, elle ne comptait plus le nombre d'hommes qui se sont agenouillés devant elle, une bague en main pour lui demander sa main. Souvent, c'était des inconnus qu'elle n'avait croisé qu'une ou deux fois au grand maximum. Mais là, ce type en particulier. Non. Elle ne mélangeait pas vie privée et travail. C'est pour ça qu'elle avait reprit fermement son poignet et repartait pour son petit chez elle. Mais c'était sans compter l'obstination du jeune homme. Toute femme sensée n'aurait pas refusé l'invitation. Bel homme, dans la vingtaine. Il était dans les forces de l’ordre. Il était intelligent, audacieux -la preuve même, il venait d'inviter Daphne à sortir- et il avait l'air d'être un bon petit soumis. Mais non. Daphne, associable, voulait rester seule avec ses cobayes. Elle avait par ailleurs prévu une vivisection cet après-midi. Mais non. L'autre blondin s'accrochait à sa taille comme un damné. Il allait lui salir sa blouse non de dieu ! Et quand elle tomba par terre parce qu'il ne trouvait plus aucune autre solution que de lui tenir une de ses frêle cheville, elle sentait qu'il allait passer un mauvais quart d'heure.
    « Okay, tu as dix secondes pour faire tes prières.
    - Viens avec moi au cinéma ! Ce soir ! Sinon je ne te lâche pas !
    - Je n'ai pas que ça à faire moi ! Va faire mumuse avec les autres et laisse loi en paix ! »
Digne d'un drama. Mais il avait l'air vraiment sérieux. Et Daphne commençait à avoir honte. Or la honte était ce qu'elle redoutait le plus. Donc elle dû accepter. Avec le baiser sur le mollet droit, je vous prit. Non, ce garçon voulait simplement mourir. Et elle lui accorderait ce voeux bien assez tôt.

Le soir, elle était toujours dans on labo. Sa vivisection s'était bien passé. Le reste des cobayes en tremblait encore. Magnifique. Dix-huit heures trente deux. Le rendez-vous était fixé à dix-huit heures quarante cinq. Et Daphne n'irait pas. Pour rien au monde elle n’irait perdre son temps devant un film alors qu'elle pourrait facilement l'avoir en piraté et le regarder chez elle. Non, hors de question. Mais non, encore une fois. Le jeune homme s'était présenté devant la salle de la brunette avec trois misérables fleurs. A tous les coups, il était allé les cueillir dans le champ miné d'à côté. Lui, en chemise repassé, pantalon noir. Elle, en blouse blanche encore tâchée de sang. Non. Elle n'irait pas.
    « Toujours pas prête ?
    - Puisque tu as l'air plus idiot que tu n'en as l'air, je vais être clair : je ne viendrai pas.
    - Je détruis tes papiers si tu ne viens pas. »
Simple et efficace. Hors de question pour elle de perdre un cobaye. Les dix minutes qui suivirent ont servit à Daphne à mettre la robe que monsieur lui avait apporté. On aura tout vu. Et comme par hasard, cette robe était aussi courte que la durée de vie de ses cobayes. Et avait un décolleté à en faire mourir de rire son frère. Non. Elle aurait dû refuser. Même si c'était la perte d'un cobaye qui était en jeu. Non en fait. Le cobaye était plus important. Et ça ferait taire les autres scientifiques qui osent dire que Daphne passe sa vie dans son labo pour se faire belle. Arrivé à la séance, ladite Daphne voulait déjà partir. Trop de monde. Trop de sourire. Trop de rire. Qu'ils aillent tous en enfers ces crétins ! Et surtout le crétin qui la tenait négligemment par la taille comme si de rien n'était. Dans la salle, c'était comme si le temps s'était arrêtait. Le film avait commencé depuis une bonne demi heure. Et déjà les envies de meurtres de la fille revenaient. Et à peine assise qu'elle prétexta un oubli dans la voiture.
    « Et tu y vas sans les clefs ?
    - Je forcerai la voiture sans problèmes. »
Le ton sec et froid de la jeune femme avait brisé net l'argument du garçon. Alors elle sortit de la salle, prête à s'en aller. Dastan n'était pas en mission, il pouvait aisément venir la chercher. Mais, le sort s'acharnait sur Daphne. Puisqu’elle s'était cogné contre une personne. Et, grande savante, elle attendait des excuses -c'était jamais de sa faute ! Non parce que Daphne Birttle faire des excuses, autant attendre la fin du monde.
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Oksana Chevchenko

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MessageSujet: Re: Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Icon_minitimeJeu 2 Juin - 23:05

 Non mais quelle poisse! Déjà qu'on le forçait à sortir voilà qu'on le poussait. Il s'était préparer à s'en aller de ce cinéma. Non, il ne voulait plus du tout voir ce film à deux balles qui allait durer encore des heures. Mais une jeune fille l'avait poussé. Enfin une jeune fille? Oui une vieille oui! Elle devait être bien plus âgée que lui. En tout cas, elle était bien plus petite que lui lui niveau taille. Lorsqu'elle le bouscula, elle ne dit rien, elle resta silencieuse en restant immobile. Elle attendait quoi là? Elle voulait dire pardon? Qu'elle se dépêche de dire quelque chose! Allons. Puis, d'un coup, le scientifique comprit alors qu'elle allait rien dire, qu'elle attendait à ce que ce soit lui qui demande des excuses! Non mais comme si il était aussi stupide. Ça allait être elle qui allait demander à se faire pardonner! Non mais elle croit quoi?

 "Oh! Et pardon?! C'est pour les chiens?!"

 Il la regarda de travers. Manque de pot pour elle, il était de mauvaise humeur ce soir-là. Remarque, comme tout les autres jours. Puis les gens malpolis, qu'est-ce qu'il détestait ça! Ah, il fallait les torturer puis après les euthanasier. Oh que non! C'était encore trop beau! Non, il fallait plutôt les laisser mourir dans leur sang. Han oui, mais bon passons. La politesse était une des bases de l'éducation, et si cette fille n'y connaissait pas, alors c'est qu'elle était une de ces enfants qu'on a envie de baffer lorsqu'elle était gamine. Il s'approcha d'elle pour être juste à quelques centimètre de la demoiselle avant de continuer sa reproche:

 "La politesse n'est pas une chose qu'on t'as appris à ce que je vois."

 Il attendit une réponse mais rien. Toujours rien. Mais quelle malpoli! Si il pouvait frapper les filles, il lui donnerait sans doute une bonne claque, mais cependant un homme n'avait pas le droit de lever la main sur une personne de sexe féminin. Il laissa échapper un petit grognement d'énervement. Oh là là, qu'est-ce qu'elle lui cassait les pieds. Puis il n'avait pas que ça à faire que d'attendre des excuses. Il devait rentrer chez lui pour aller promener ses chiens avant de s'occuper de nettoyer les objets que ses oiseaux ont achever. Il commença alors à s'en aller, dépassant la "vieille". En passant à côté d'elle, il leva le menton, prenant un air pédant, avant de sortir:

 "Vieille mijaurée sans éducation va!"

 Il commença alors à marcher en direction de la sortie.
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MessageSujet: Re: Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Icon_minitimeVen 3 Juin - 2:36

Daphne n'a jamais vraiment eu besoin de faire des excuses. La seule personne à déjà l'avoir entendu s'excuser, c'était Dastan. Et c'était pour lui avoir piqué son flan à la vanille -une scientifique a toujours faim. Alors non, ce gamin il n'allait pas en recevoir, des excuses. Son air méprisant donnait déjà des envies de meurtres à la jeune fille. Lui, il ferait un bon cobaye. Elle se ferait un plaisir de lui ouvrir ses boyaux et de les couper minutieusement. Sans les sortir du corps. Mais. Mais lui, Daphne l'avait déjà vu. Lui. Lui il avait un visage qui disait quelque chose à la brunette. Elle ne se souvenait plus exactement où. Mais elle était sûre et certaine d'avoir déjà croisé ce garçon quelque part. Mais ne s'en soucia qu'une petite seconde. Juste le temps pour elle de digérer ce qu'il venait de lui cracher à la figure. Il était bien rare qu'elle rencontre des personnes qui avaient pratiquement le même tempérament qu'elle. C'est vrai que sur l'île, les seuls personnes pouvant parler, se comporter comme Daphne étaient les scientifiques. Jusqu’ici, elle était la seule à être maître dans le domaine. De son domaine. Alors cette politesse, elle la garde pour elle. Et pour elle seule. Non, il n'allait pas avoir ses excuses. Daphne sait encore mieux ce qu'elle doit faire dans ces moments là. Tuer la personne en question. Mais tout à coup, flash. Une ampoule au dessus de sa tête. Ce type. Ce garçon. Il était aussi des forces de l'ordre. Elle l'avait déjà croisé une ou deux fois lorsqu'elle sortait de son laboratoire pour elle rendre à son demi-frère ses baskets à moitié mangé par un loup. Donc. Donc elle ne pouvait le tuer. Elle perdrait bien des cobayes si on savait qu'elle avait tué l'un des siens. Autant éviter. Elle était venue ici pour ne pas perdre une de ses futures petites bêtes, pas question d'en perdre une bonne dizaine à cause d'un petit coup de colère. Mais elle hésitait vraiment à lui planter son scalpel dans la gorge lorsqu'elle vit le regard de travers. C'était une sorte de provocation pour elle. Et ça, elle ne le permettrait pas.

Et la phrase qui suivit l'obligea à serrer les poings si elle ne voulait pas lui mettre un peu de plomb dans la tête. Au sens propre du terme. La politesse, elle ne l'avait jamais vraiment apprise par quelqu'un. Elle n'avait fait que regarder les autres. Et la politesse, elle l'utilisait en présence de personnes qui en valaient la peine. Et non pour quelqu'un comme lui. Mais comment est-ce qu'il se nommait déjà ?! Normalement la mémoire de la scientifique ne perdait jamais ce genre de données. Elle avait forcément entendu son nom quelque part. Il le lui fallait. Pour le sortir à la figure et lui clouer le bac à ce type. Il n'avait pas l'air d'être anglais, ses traits ne correspondait pas aux critères du pays. Donc il était étranger et donc son nom l'était aussi. Mais rien, ça ne lui revenait pas. Affreux. Elle se devait de reprendre un peu de poil de la bête. Si elle commençait à perdre pied maintenant, ça n'allait pas marcher pour la suite. Ce fut son grognement qui le lui rappela. Un nom commençant par un "O". Mais "O" quoi ? Tant pis. Elle le saurait bien après. Quel bête tout de même. Parler ainsi à une fille était un manque réel de respect. Alors sa politesse, il pouvait la mettre autre part ! Et il se permettait d'en rajouter.
    « Vieille mijaurée sans éducation va! »
Déclaration de guerre. Alors qu'il allait partir, Daphne en profita pour sortir rapidement son pistolet et viser intentionnellement à côté. Ne pas le tuer. Ne pas le tuer.... Tellement facile à dire. Tout aussi rapidement elle rangea son arme à feu et prit la parole.
    « La vieille mijaurée n'a que deux ans de plus que toi, gamin. Apprend donc à respecter tes aînés et on reparlera d'éducation plus tard, Oksana. »
Voilà ! Oksana ! Son cerveau n'était pas si usé finalement. Ça lui servait au final de faire quelques breaks dans ses expériences. Au moins elle connaissait du monde. Bien que ce ne soit que des personnes venant des forces de l'ordre. L'horloge au dessus de sa tête indiquait dix-neuf heures cinquante. Le film ne se terminerait que dans quelques heures, au moins. Elle avait donc le temps de faire la leçon à ce petit et lui apprendre ce qu'est vraiment la politesse. Les gens de nos jours ne faisaient rien de bien. Elle en avait l'exemple parfait juste devant elle. La prochaine fois qu'il lui parlerait comme ça, elle lui plante son scalpel entre les deux yeux. Ils verront ensuite qui est-ce qui devra apprendre les bonnes manières à l'anglaise.
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Oksana Chevchenko

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MessageSujet: Re: Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Icon_minitimeVen 3 Juin - 13:16

On tirait à côté de lui alors qu'il allait s'en aller? Oh d'accords. Apparemment la guerre avait été déclenchée entre cette fille et lui. Pour qui elle se prenait pour sortir ainsi une arme? Pour la reine d'Angleterre? Et encore même il irait pas donner tout les droits à cette femme. Il se retourna donc en tournant des talons pour regarder celle qui avait tirer. Bah tiens, la même voyons. Non mais c'est que les femmes sont hargneuses. D'ailleurs il avait vu plusieurs combats de filles, oui. Des filles qui se battent pour une cause quelconque. Autant les garçons ça va, ça se frappe directement et ça reviens plus chercher les noises mais les filles... Ça se griffe, ça se tire les cheveux, ça se mord... et après c'est pas tout! Parce qu'il y a un concours! Oui! Celui de celle qui réussira à faire le plus de coups bas à l'ennemie! Affreux!

La jeune femme tenait toujours son arme face à elle. Elle voulait encore lui tirer dessus? Bah qu'elle le fasse! Après tout, Oksana n'était-il pas suicidaire? N'avait-il pas des traces de mutilation qui lui restait à ses poignets? Et ouai! Elle pouvait tirer sur lui, il en avait rien à faire! Puis, elle lui parla. Elle lui dit même son prénom? Oh, elle le connaissait? Certainement. D'ailleurs, en y pensant... la tête de cette petite vieille n'était pas inconnu à l'ukrainien. Faisait-elle parti des Forces de l'Ordre? Sans doute. Pour lui, les seules personnes qui pouvaient s'autoriser à avoir un tel caractère n'est autre que quelqu'un de son camps. Rho et puis, qu'est-ce qu'il s'en fichait de cette fille. Il ne trouvait pas les gens intéressants, et encore moins les impolies. Cependant, il voulait bien s'amuser un peu avec cette fille.

"Oh tu connais mon nom? Et aussi mon âge pour que tu dises que tu as deux ans de plus que moi? Hmm je vois. C'est bien ce que je me disais. T'es une sorcière!"

Autant s'amuser à chercher les embrouilles puisque la guerre était déjà enclenchée. D'ailleurs, il sentait que ça commençait à l'amuser. Il sentait aussi qu'il avait un petit sourire qui commençait à s'afficher sur ses lèvres. Oui, quoi de beau de d'embêter les gens? Et en particulier les jeunes filles? Parce que sur les filles, il y avait toutes sortes de choses à dire, des choses énervantes, des choses machistes. Machiste? Non il ne l'était pas. Non, il s'amusait à jouer le macho histoire d'embêter les demoiselles. D'ailleurs il avait des sœurs en Ukraine, alors autant de pas l'être. Il s'approcha doucement de la femme pensant qu'elle ne tirerait pas sur lui. Il fallait bien être fou pour tuer un de ses collègues, voire même le blesser au risque et péril de se faire virer. Mais bon passons. Arrivé vers elle, il ne put s'empêcher de faire une remarque quelque peu désagréable pour toutes les personnes de sexe féminin... ou les travestis... ou encore les transsexuels!

"Je dois respecter mes ainés, oui, mais pas mes ainées avec un "es" à la fin. Depuis quand nous respectons les femmes nous? C'est pas qu'on vous a donner le droit de vote que vous avez tout les droits, en particulier celui de reprendre les hommes!"

Il s'empêcha de rire. Oh comme il allait être pourris avec cette vieille! Elle allait apprendre la politesse, et par la même occasion, à ne pas tirer sur tous ce qui bouge, et en particulier à côté de lui. Ah moins que ce n'était que pour se faire remarquer? C'était pardonnable quand même. 18+2... 20 ans? Cette fille en avait la vingtaine? Oh c'est bien l'âge à laquelle on veut se rendre le plus intéressant possible. Cependant, elle aurait bien été mal barrée si il y avait eut comme par hasard quelqu'un qui serait passer au moment-même où elle a tirer. Mais passons. Il regarda alors là où la "vieille-femme" avait ranger son arme.

"Comment peut-on laisser une chose aussi dangereuse à une petite vieille comme toi?"

Puis, de sa main libre, il fit un geste qui voulait dire en gros "va-t-en!".

"Allez, ça va, cette fois je te pardonne de ton pécher! Allez, oust Femme! Va laver ton linge et la cuisine! Fais ton devoir de femme voyons à la place de bousculer les gens sans t'excuser et de leur casser les pieds!"

[HRPG: désolée si c'est pourris ><]
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Dastan Loenven

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MessageSujet: Re: Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Icon_minitimeDim 5 Juin - 12:48

Plus loin, Alors que Daphne n’avait pas l’œil sur son laboratoire, quelque chose de dangereux s’en approchait, lentement mais surement… dans quelques secondes « ca » atteindrais la porte blindée normalement inviolable de la pièce remplit de secret scientifique. Encore un peu… juste un peu… 3, 2, 1 … zwip, clic, BAM.

« Un jour tu va crever de faim dans ton laboratoire comme tes vieux cobayes… t’est pas revenus manger alors je t’ai apporté quelque chose. Nooon ne me remercie pas… pendant que tu mange je vais jeter un coup d’œil a ce que tu fais ! … Ha ?

Voici arriver le mollasson vert, qui fut bien surpris de ne voir personne en train de tripoter des fioles, gribouiller de l’Alien sur du papier, et de rire sadiquement devant la souffrance d’un cobaye recevant un troisième bras dans le dos. Etrange ! Très très étrange ! La personne qui travaille ici, n’est pourtant pas du genre à quitter son laboratoire aussi tôt sans raison particulière, exception des jours ou elle se rappel de manger. Enfin, cela ne l’inquiéte pas tant que ça, sa sœur est plus que folle mais elle sait se débrouiller. Mais qu’elle garce ! Elle aurait put le prévenir qu’il ne se déplace pas pour rien, et avec cette quantité de nourriture ! C’est du gaspillage. Oui précisons le Dastan est très porter sur l’importance de la nourriture, c’est un sujet sensible à débattre avec lui, et l’alimentation de sa sœur est bien la seule chose qu’il surveille chez elle. Un haussement d’épaule suivit d’un soupir, Dastan est à présent bien embêter. Il s’apprêtait à repartir quand… il se souvint que le laboratoire étant vide, il allait pouvoir trifouiller partout sans se prendre un seul objet sur la tète de la part de la propriétaire! C’est que cette endroit est bien plus intéressent que la caverne d’Ali Baba, des trésors dont il ne comprenait rien, mais c’est toujours amusant de découvrir ce qui s’y trouve. Un petit éclat d’amusement dans le regard, il dépose le repas entre des tubes d’essais et un petit vivarium, le seul espace qu’il put trouver, et s’approcha du plan de travail ou il avait l’habitude de voir sa sœur. Des feuilles, avec encore ce langage incompréhensible des scientifiques : pas intéressent. Des outils, ranger bien soigneusement dans un petit coffret. Scalpel, ciseau, seringue… mouais, le parfait équipement du petit chirurgien : il connait déjà. HA ! Voila sa perle rare ! Un tube à essai ou repose un liquide d’une jolie verte prairie légèrement brillant. Ce qui était dedans importais peu, pour Dastan, le vert est une bonne couleur, elle ne peut amener que des bonnes choses ! il tendit la main pour le saisir, un geste trop brusque et il fit tomber le présentoirs ou se trouvait les divers tube a essais aux mixtures et couleurs différentes. Ceux-ci se déversèrent sur la table de travail, et vinrent colorer les documents de la demoiselle. Oups ? dirait-on ? Pas Dastan, il haussa simplement les épaules et continua sa quête du Graal a lui en cherchant mentalement qu’elle serait la meilleure cachette pour échapper à la prochaine colère de Daphne.

Mais ce petit jeu n’était pas aussi amusant lorsque sa SI gentille sœur n’est pas dans les parages. Il s’en lassa donc rapidement, et ressortit du laboratoire qu’il verrouilla de nouveau avec la carte d’accès. Ni vu… mais connu. De nouveau en dehors du QG des forces de l’ordre, après quelques minutes planter sur place en se demandant quoi faire, il finit par monter sur sa moto d’un vert grenouille et partit pour la ville. C’est une belle moto, qu’un jeune de son âge ne pourrait normalement conduire légalement… mais qui disait que tout ce que faisait Dastan était légal? Passer le permis c’est bien trop ennuyeux ! Non… un faux permis et tout allait bien. De plus le gouvernement était bien trop occuper par ses rebelles pour s’occuper de ces petits détournements des lois. Il roulait à présent au centre ville à la recherche d’une activité, ou alors d’un monstre au comportement louche à espionner. Sous le regard des habitants de Shiinu, il n’était qu’un simple student profitant de sa vie aussi simplement qu’une petite grenouille dans son marais. Mais pour une plus petite communauté il était un agent des hunters. Et là… il crut un instant qu’il était dans un cauchemar, et donc mort, car s’endormir en moto ce n’était pas une très bonne idée… ou alors un monde parallèle. Tant est-il que : QU’EST-CE QUE FOUT SA SŒUR DEVANT LE CINEMA EN COMPAGNIE D’UN ETRANGER. Vraiment… sa sœur allez au cinéma ? C’était bien une première ! Il n’y avait aucune affiche sur « dix bonne leçon de disséquer un cobaye » pourtant. Hein ? Et l’étranger ? Bah Dastan ne s’inquiétait pas de ca, c’est cet homme qui se trouvait en danger, pas sa sœur. Par contre la santé mentale de sa sœur l’inquiétait soudainement. Elle qui ne sortait quasiment jamais de son laboratoire. En état de surprise il se gara sur la chaussée et observa le « couple » quelques instants. En se concentrant bien sur les deux personnes et non les bruits de la ville qui l’entourait il arriva a entendre quelques brides de conversations. Merci entrainement des Hunters. Mais ce n’était pas suffisant, il quitta donc sa jolie bécane pour s’approcher d’eux discrètement, dans le dos de sa sœur bien sur, il n’était pas suicidaire.

"Allez, ça va, cette fois je te pardonne de ton pécher! Allez, oust Femme! Va laver ton linge et la cuisine! Fais ton devoir de femme voyons à la place de bousculer les gens sans t'excuser et de leur casser les pieds!"

Nouvelle question : pourquoi diable Daphne trainait’ elle avec un type pareille ? Enfin, la vie de ce garçon allait être bientôt écourtée. Il aurait presque pitié de lui connaissant bien sa sœur. Mais faire un meurtre en pleine rue n’était pas très recommandé. Il ferma la distance qu’il y avait entre les deux zigotos et lui et posa ses mains sur les épaules de Daphne pour la tiré vers lui, et avec un sourire d’acteur sur son visage, il s’adressa au garçon.

« La linge ? La cuisine ? Non tu vois elle c’est plutôt la boucherie, le sang, les boyaux et compagnie ! Les taches ménagères c’est déjà moins sont trucs ! D’ailleurs je crois qu’elle te regarde comme un joli cochon qu’elle aimerait bien découper ~

Puis il entoura Daphne de ses bras, jouissant surtout de pouvoir tout en sauvant la vie du garçon emmerdé au plus haut point, sa chère demi-sœur.

« Grande sœur tu m’avais promis de porter ta camisole lors de tes sorties !

A noter ! Prendre des provisions, des tas de provisions dans sa cachette, il ne pourrait surement pas sortir des jours durant après ca. Son faux sourire d’obédient toujours plaqué aux lèvres et ce ton enjoué travaillé par ses soins, il se comportait comme tout petit frère avec sa sœur, la vacheté en plus. Mais ce n’était bien que devant les autres shiinuiens, qu’il se comportait ainsi avec elle.
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Daphne Brittle

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MessageSujet: Re: Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Icon_minitimeSam 11 Juin - 1:15

Sorcière. Ce mot, elle l'avait entendu tellement de fois. Ça ne l'atteignait même plus. Depuis le temps qu'on la nommait comme ça en Norvège... Ce faisait presque du bien d'entendre ce mot prononcer avec un accent autre qu'anglais. Parfois, c'était même amusant. Alors elle ne releva pas la remarque désobligeante à son égard. Non, elle préférait lever les yeux aux ciels. Ce garçon, il ne savait surement pas qui elle était. C'était un autre avantage de jouer les ermites dans son laboratoire : elle connaissait tout le monde mais personne ne la connaissait. Comme ça on lui fichait bien la paix. Alors qu'elle, elle pouvait remarquablement bien faire le contraire. Combien de vies avait-elle déjà retiré ? Combien de famille -supposons simplement que les cobayes en avaient une- a t-elle détruite ? Elle n'en savait rien et préférait ne pas savoir. C'était un petit entre elle et elle. Le jour de sa mort, elle saurait exactement combien de personne elle a rendu fou à lier. Et peut-être qu’aujourd’hui, elle allait rajouter une autre personne dans son décompte. Si il essayait vraiment de chercher la guerre. Et il avait l'air de la chercher cette guerre. Lentement, il s'approcha d'elle. Elle qui avait toujours sa main dans sa poche, caressant la crosse de son pistolet. Ne pas le tuer. Mais possibilité de le blesser. Gravement ou pas, ça, ce n'était pas son problème, la morgue était trois couloirs plus loin que son laboratoire personnel. C'est alors qu'il s'abaissa à son niveau. Et pas pour sortir n'importe quoi.
    « Je dois respecter mes ainés, oui, mais pas mes ainées avec un "es" à la fin. Depuis quand nous respectons les femmes nous? C'est pas qu'on vous a donner le droit de vote que vous avez tout les droits, en particulier celui de reprendre les hommes! Comment peut-on laisser une chose aussi dangereuse à une petite vieille comme toi? »
Elle ne releva pas non plus cette remarque. La vieille femme comme il le disait si bien était dans un angle de tir parfait. Ne surtout pas le perdre. Elle restait concentrée, indifférentes à ses remarques complètement idiotes.
    Allez, ça va, cette fois je te pardonne de ton pécher! Allez, oust Femme! Va laver ton linge et la cuisine! Fais ton devoir de femme voyons à la place de bousculer les gens sans t'excuser et de leur casser les pieds! »
C'est alors qu'apparut quelque chose qu'elle n'avait pas revu depuis quelques heures. Une chose qui, d'après la base de données de la jeune femme, l'énervait à un point inimaginable. Une chose qui cependant, lui tenait vraiment à cœur. Pourquoi est-ce que son demi-frère à tête de grenouille était-il ici ? Elle pensait l'avoir viré du quartier après qu'il ait encore mis un bazar dans ses papiers. Est-ce qu'il avait profité de son absence pour remettre le chaos chez elle ? Possible. Elle allait devoir le punir encore fois. Mais le plus important était bien la raison du pourquoi sa venue ici. Il ne l'aurait pas suivit, ce n'est absolument pas son genre, sachant que lui même connait Daphne comme sa poche. Il savait qu'elle ne quittait pas son labo pour rien. Mais ce n'était pas non plus son genre de s'inquiéter pour sa sœur, vu qu'il savait que toute personne qui osait la contredire finissait le ventre ouvert et les boyaux à la place des yeux. Il avait mit ses mains sur les épaules de la demoiselle -fichu garçon en pleine croissance trop grande pour lui !- avant d'ajouter d'un air innocent :
    La linge ? La cuisine ? Non tu vois elle c’est plutôt la boucherie, le sang, les boyaux et compagnie ! Les taches ménagères c’est déjà moins sont trucs ! D’ailleurs je crois qu’elle te regarde comme un joli cochon qu’elle aimerait bien découper ~ »
En fait. Lui aussi voulait mourir. Combien de fois est-ce qu'il s'était prit un plateau dans la figure pour avoir sortit ce genre de propos ? Il était certes, vrai que Daphne préférait de loin décapiter un innocent petit agneau plutôt que de le tondre simplement pour en récupérer la laine mais toute la ville n'avait pas besoin de le savoir. Surtout quand elle était une scientifique sensée rester uniquement dans le QG des forces de l'ordre et que ses sorties étaient très limitées. Devenue prisonnière dans les bras de son frère, elle n'a rien pu faire pour le faire taire.
    Grande sœur tu m’avais promis de porter ta camisole lors de tes sorties ! »
Il voulait mourir. Sérieusement. Daphne Brittle ne voyait pas comment elle pourrait le tuer proprement mais elle allait le tuer. Il allait comprendre la douleur de ses cobayes lorsqu’ils sont allongés sur la fameuse table d'opération. Déjà, elle imaginait le comment pour attirer les deux clowns dans sa salle. Et le comment elle allait procéder pour les tuer tous les deux. En même temps. Le clonage, très peu pour elle. Un assistant ? Il ferait tout rater à merveille. La seule solution était qu'elle les endorme tous les deux. Mais vu comme ça, c'était dur. Elle était entre un grand garçon de quinze ans et un grand garçon de dix(huit ans. Tous les deux aussi con l'un que l'autre. Non, peut-être que Dastan était plus con. Mais de toute manière, les jeux étaient fait. Elle avait sur le dos deux lourdaux qui ne savaient que la mettre en colère.
    « Dastan, mon poussin. La camisole, c'est moi qui vais te la mettre. Et je t'enverrai directement avec le plus gros de mes cobayes tout une semaine, sans nourriture, sans télévision. Et toi Oksana, pour un petit scientifique sans prétention, tu devrais te la fermer. J'aime pas les gens de ton gabaris, ça me rappelle trop les petites fourmis que j'écrase dans la rue. »
Sans suivit d'un tir. Sur le plus âgé des deux. Un tir. Calculé. Comme le fait parfois Daphne, lorsqu'elle n'a plus rien à faire. Elle n'avait pas visé le cœur. Mais une épaule, c'était tout autre chose. Allait-il pouvoir travailler sans son bras droit ? Ça, elle aimerait bien voir. Et le comble, c'est qu'elle se savait supérieur à lui. En tout. Et que ceux de là-haut n'oserait pas la renvoyer ou la rétrograder. Non. Parce que elle, c'était Daphne. Et que sans Daphne, ils perdaient la moitié des informations récoltées jusque là. Un grand sourire satisfait naquit sur son visage de porcelaine. Ça lui apprendra à tenir sa langue devant une supérieur hiérarchique. En même temps, pouvait-il se douter un instant qu'il avait devant lui une personne venant du "même" milieu que lui ?
    « "Oksana", t'es vraiment lourd. Tu ne sais pas parler aux autres ? Ou tes bonnes manières sont aussi inexistantes que ton inefficacité à te taire ? En fait, j'en ai rien à faire si tu meurs. Non, ça m'arrangerait. Une langue de vipère autre que moi, ça ne devrait pas exister. Et puis tu devrais savoir que sur cette île, les vraiment très hauts gradés peuvent trouver quelqu'un d'autre pour te remplacer. Ça devrait pas être trop dur après tout, rien qu'à ta tête j'imagine très bien ton niveau et ton statue dans les Forces de l'ordre. Apprend à mieux parler, gamin. Il me reste deux balles et une recharge. »
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Oksana Chevchenko

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MessageSujet: Re: Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Le cinéma de nos jours... quoi de plus stupide? [PV Daphne & Dastan] Icon_minitimeMar 14 Juin - 18:02


Alors comme ça elle ne se sentait pas visée? Soit, elle faisait comme elle voulait. Apparemment elle a dû en entendre des insultes et des propos machistes. Dommage que ça ne marche pas sur elle. Oksana en était un peu déçu mais il ne montrait pas comment il en était triste en se contentant de sourire mesquinement. Remarque, il aurait quand dû se douter que cela ne la toucherait pas, et pour cause; elle n'avait pas l'air féminine. Bon, physiquement si, mais elle ne se comportait pas comme tel. Un travesti? Un transsexuel? Peut-être. Il n'eût pas le temps de le demander car quelque chose de bizarre arriva en moto. Une chose qui semblait être un jeune adolescent avec des cheveux verts. Bizarre, c'était quoi ça? L'ukrainien laissa échapper un soupire. Décidément, les jeunes de nos jours sont de plus en plus bizarres rien que pour se différencier des autres de leur âge. Mais cette "chose" qu'il pensait aller directement dans le cinéma se dirigea plutôt vers l'autre tarée avant de commencer à lui parler. "Grande soeur"? Il avait bien entendu grande-soeur lorsqu'il a commencer à parler à la scientifique? Remarque, il aurait dû aussi le deviner: deux tarés ensemble. Qui se ressemble s'assemble comme on dit, non? Cependant, la jolie remarque avec la camisole de ce jeune frère le fit sourire. Ah les baches entre frère et soeur... ça lui manquait. Il faut dire aussi qu'il n'avait plus revu sa fratrie en Ukraine depuis fort longtemps. D'ailleurs, elle commençait étrangement à lui manquer. Dire que plus jeune il se battait contre ses aînés et qu'après la mort de leur père, il a dû reprendre le boulot de ce défunt dans la science. Mais il ressortit alors de ses pensées lorsqu'il entendit une remarque de la folle.


"De mon gabari? Sérieusement, moi je ne sais pas où tu vois des fourmis d'un mètre quatre-vingt-six mais faudrait que tu arrêtes de fumer le..."

Il n'eût pas terminer sa phrase qu'il sentit quelque chose se planter dans son épaule droit. Il se mordit la lèvre inférieure et appuya assez fort là où ruisselait le sang. Tranquille, comme ça elle ne se gênait pas de tirer une bonne balle dans son épaule droit? Et comment il allait faire pour travailler hein? Bon, d'accords il pouvait toujours écrire et faire des choses simple à une main vu qu'il était gaucher, mais lors des expériences, il allait morfler. Puis, elle lui fit une petite remarque. Ou du moins une longue vu qu'elle critiquait non seulement sa manière de parler et puis elle lui parlait de son niveau. "Vu ta tête j'imagine très bien ton niveau et ton statut dans les Forces de l'Ordre". En gros ne lui disait-elle pas qu'elle prenait pour un imbécile? Et ben, si elle savait à quel âge il a commencé à travailler lui dans les Forces de l'Ordre. En fait, il pensait même avoir été destiné à ça. Son père lui avait apprit les sciences dès son jeune âge. Jamais il n'a été allé à l'école. Ses frères et soeurs oui, mais lui, son père l'avait gardé avec lui pour tout lui enseigner et pour cause; il comprenait vite et mémorisait très bien ce qu'on lui apprenait. Mais la question que Oksana s'était toujours posé était: est-ce que mon père m'a tout enseigner de son savoir afin que je reprenne sa place dans son travail? Il faut dire aussi qu'à peine Monsieur Pedro Oksana était mort qu'on avait été allé chercher un remplaçant et qu'on avait donc prit son fils comme scientifique. Il faut dire aussi qu'il connaissait pendant ce temps quelques plans d'expérience qu'avait eût son père mais qu'il n'avait cependant dit à personne, ne trouvant pas quelqu'un de confiance.

Cependant, la blessure commençait à lui faire vachement mal. Aller voir un hôpital? Non, à la maison il s'occuperait tout seul de cette blessure. Remarque, à force de faire des expériences sur des personnes, de les ouvrir et de les refermer par la suite apprenait à soigner n'importe qui. Vive les expériences, ça aide beaucoup quand même. Le scientifique essayait de ne pas montrer à quel point il avait mal en restant debout, mais tout en tenant encore sa blessure assez fortement. Il allait morfler lorsqu'il ira enlever la balle.

"Je ne crois pas... que j'ai à te respecter. Tu t'autorises à être impolie envers les gens tous ça parce que tu es soit disante supérieures aux autres? Mais va te faire cuire un oeuf! Tu l'es dans mon travail, juste dans ça. Lorsqu'on est dans les labos oui, tu peux te la jouer. Mais là on est hors du travail, tu es égale à n'importe qui dans ton travail. Alors langue de vipère, ne joue pas ta belle devant moi et ne crois surtout pas que je respecterai un jour ou l'autre. Je préfère mourir que d'honorer une peste comme toi."

Il avait dit tout cela sur un ton calme. Il retenait ses impulsions meurtrières. Ça ne servait à rien de laisser un cadavre là, sur la route. De plus est, il devait bien l'avouer, il était dans une mauvaise posture. Un bras blessé, elle pouvait avoir l'avantage. Oksana se regarda ensuite Dastan pour lui adresser la parole.

"Par contre j'ai du respect pour toi pour supporter une teigne pareille comme soeur."
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