Être éveillé depuis l’aube mais ne pas se lever, rester là, sans bouger, attendre… Jusqu’à ce que !

La pluie est venue d’un seul coup, c’était pendant la nuit, beaucoup de gens dormaient encore et il n’y avait pratiquement aucun mouvement dans les rues. J’aime beaucoup la nuit, c’est silencieux, c’est sombre, tout semble mort, tout semble même paisible comme si le brouhaha de la journée n’avait jamais existé. Ho je dit pas ! Parfois il y à des jeunes humains qui sortent juste pour faire du bruit, je comprend pas pourquoi ils font ça mais ça à l’air de les amuser. Ca les amuse aussi de me courir après quand il m’aperçoit dans la rue ! Il n’y a pas que moi qu’il traumatise, il y à d’autres chats. Et ça ne me dérange vraiment pas quand ils s’attaquent aux chiens qui aiment bien s’amuser à me courser eux aussi ! Et puis ça ne me dérange pas non plus quand ils s’en prennent à d’autre humains un peut différent, même si à ce moment ça fait plus de bruit, oui, ça crie, ça souffre.
Mais là tout est mort ! Complètement ! C’est la pluie qui fait ça, c’est une grosse pluie qui fait beaucoup de bruit et qui t’empêche de voir le bout de la rue comme si un rideau c’était dressé devant toi, qui fait que tout le monde se calme et reste bien tranquillement chez lui. Je me suis fait surprendre, elle est venue sans prévenir ! Les autre chat l’on sûrement sentit mais pas moi, je ne suis pas comme les autres, je suis un peut moins forte, j’ai pas de 6ème sens mais je peut parler ! Enfin là n’est pas l’important, je doit absolument me trouver un abris mais tout ce que j’ai pu trouver c’est un petit carton, surmonté d’un couvercle de poubelle. Ce n’est pas trop mal encore, ça aurait pus être pire ! Sans le couvercle au dessus par exemple, le carton se serait bien vite décomposer sans ça.
Dans ce carton humide je me suis endormit, pas très longtemps car à l’aube, lorsque le soleil s’est levé derrière les nuages, j’étais déjà réveillé. Il pleut toujours aussi fort qu’avant, ce doit être parce que toute la semaine il y a eu un grand soleil. Je regarde cette eau se verser violemment, sans bouger à attendre qu’elle s’arrête enfin et le temps commence à me paraître terriblement long. Comment font ils tout les autres pour dormir toute la journée à attendre qu’un peut de nourriture arrive dans les poubelles ?

Les heurs passe et le carton est de plus en plus humide mais heureusement la pluie commence à ce calmer. Je reste encore un peut, maintenant ça ne devrait plus tarder à s’arrêter.
Cependant un petit évènement bouscule mon plant, et ce petit évènement n’est d’autre que de la nourriture ! En temps que chat sauvage, ou de gouttières, on a pas toujours la chance de tomber sur quelque chose à manger. Même dans les poubelle de restaurant car la plupart des humains, les plus radin, préfère mettre du poison dans chaque aliments pour être sur que personne n’en profite. Donc cette petite sourie qui pointe le bout de son nez sera mon repas !
Je me lance alors dans une poursuite effrénée entre les gouttes d’eau et l’amuse gueule ! La chasse n’est pas un sport facile quand on n’a pas appris vraiment. Depuis mon réveille dans le buisson j’ai du observer tout ce qui m’entour pour comprendre comment le monde fonctionne et surtout comment me nourrir, ce ne fus pas chose facile mais j’ai réussit à survivre tout de même jusque là et je ne compte pas mourir avant d’avoir trouvé qui je suis.

Misère ! La vile créature a trouvé un abri dans une faille de maison, le repas à disparu. Ca ne serait pas la première fois que je ne mange pas de la journée, on peut y survivre ce n’est pas si grave. Ha mais… Coup de chance, un oiseau est assoupit sur une branche de l’arbre juste à côté ! La capture d’un oiseau et bien plus fatigante et risqué mais, la chair de l’animal est aussi un peut plus potable que celle des souris.
Silencieusement, agilement mais rapidement j’arrive à me hisser jusqu’à la branche qui se trouve un peut au dessus de celle de la proie. Tout ce passe bien, il ne ses pas réveiller, ce doit être le bruit de la pluie qui me camoufle. Avec prudence je me met en position de saut, je contracte tout mes muscles, retiens ma respiration et analyse le saut…

*Cette tension que l’on ressent dans tout le corps, la nervosité, l’impatience de tenir ce corps plumeau dans la bouche et de l’exhiber comme un trophée. Tout ce que l’on ressent avant de sauter, cette sensation ! Je ne l’échangerais pour rien au monde c’est un vrais délice !*

Haha ! Quel saut magnifiquement réussi ! Et en plus l’oiseau est bien emprisonné entre mes dents ! Pauvre bête, elle finira dans mon gosier ! Mais encore un imprévu, et celui-ci risque d’être moins joyeux. La branche de la victime était trop trempée par la pluie, et comme une débutante j’ai rentré mes griffes au mauvais moment. Tout vas très vite d’un seul coup !
Je glisse, impossible de se rattraper, paniqué ma vue deviens flou et je cherche à m’accrocher à tout ce que je peut sans lâcher ma prise ! Au finale j’arrive à atterrir relativement bien sur une branche, mais sous le coup de la peur ou de la folie du moment je saute directement après l’avoir toucher, je plonge alors par un fenêtre heureusement ouverte et arrive cette foi si sur un engin bizarre avec plein de bouton partout, avec un écran juste derrière qui après mon apparition est devenue tout noir.

Crispé, le pelage dégoulinant, au bord de la crise cardiaque, je fixe l’écran noir, plus bouger, penser à respirer, ne pas paniquer et garder la bouche fermé.

[HS : je corrigerais els fautes éventuelle lorsque j'aurais plus le temps désoler ]

Je redresse la tête autrefois plongé au creux de mes bras replié sur le grand bureau. Devant moi défilait des flocons de neiges sur un fond noir numérique. Mon écran de veille... Je me suis assoupi ? Je ne m’en étais pas rendu compte. Mais après tout cela doit faire bien deux jours que je n’ai pas dormis une seule seconde. Entre mes guildes, le plantage de la nuit dernière qui me prit une bonne partie de la nuit à régler, et surtout cet internet qui ne voulait plus afficher une seule page web exception faite pour le blog de ce mister Z. Pour moi il n’y as pas de doute, ce gars est dangereux. Mais pas invulnérable, et j’avais bien l’intention de répliquer. Sans réseau, je me retrouve bloquer lors de mes voyages dans la toile sous forme de données. Et ne pouvant plus emprunter cette voie, il m’est impossible de travailler correctement.

Tant est-il que j’ai fini par m’endormir de fatigue. Mmh.. il faut vraiment que j’investisse dans les boissons énergétiques, ou bien dans les vitamines. Je m’étire de tout mon long, mon dos en avait bien besoin après avoir passer de longues heures dans cette position inconfortable. je replace les quelques mèches rebelles d’un rapide brossage de mes mains, et regarde par la fenêtre. Le jour se lève tout juste, il est donc encore très tôt. Je n’avais pas besoin de me précipiter sur WOW, les meilleurs joueurs de ma guilde ne se connectant qu’un peu plus tard dans la matinée, et ne pouvant me connecter sur le net, je décide avec un grand courage, mais surtout pour calmer la famine imposant toujours plus ses effets sur mon corps de me diriger –ou trainer selon le point de vue- jusqu’à la cuisine. Je regarde dans mes placards et trouve avec bonheur une boite de céréales aux chocolats. Ce serait très bien pour cette fois. Le bol servit je verse le lait, quand nu bruit sourd venant de ma chambre me fit sursauter. Quoi que ce soit, personne n’avait le droit de rentrer dans ma chambre, je crut donc un instant que mes appareils informatique en était la cause. Cette pièce est une véritable toile de fils en tout genre et de machines connectés les unes aux autres. Des ordinateurs, le modem, des consoles, des tours et autres disques durs. Un fouillis dans lequel moi seul pouvait me retrouver.

Je fut rapidement de retour dans ma chambre, paniquer que ce soit une de mes tours qui se serait retrouver par terre, ou que mon écran se soit renverser. J’ouvre la porte, el bol dans mes mains. L’écran est éteins. Mauvais signe, mais une grosse fourrure attira mon visage. Que faisait cette peau sur mon clavier ? Clavier qui se trouvait à moitié pendent dans le vide à présent. Et cette fourrure… respire ? je me calme. Ce n’est qu’un animal. Après tout il n’était pas si surpris de voir un chat chez lui, sa fenêtre juste en face des branches d’un arbre. Par contre je fus légèrement dégouter de voir la petite boule de poil dans sa gueule mort… je m’approche de mon bureau, et pose le bol sur la table. Je regarde le chat et mon regard croise le siens. Un regard rouge sang. J’en fus légèrement surpris, mais après tout, il y a tellement de gens et choses bizarre sur cette ile, que voir un éléphant multicolore coiffé comme un punk et se comporter comme le roi BABAR ne me surprendrait même pas. La petite chose semble terrifiée et bien trempée. A ce détail je me précipite sur elle et l’attrape de mes deux mains pour la soulever de mon clavier, horrifié a l’idée que son tout nouveau clavier d’un tout dernier design soit abimer. D’un petit coup de hanche habile je le replace sur le bureau et approche le chat devant mon visage.

- … il a fallu que tu tombe pile dessus toi hein… je pensais que les chats étaient des animaux habiles.

Puis il regarda son écran. Heureusement il n’était que débrancher. Le chat avait dut tirer sur un des fils lors de sa chute. Puis je tend les bras, tenant toujours le chat entre mes mains, et l’observe sous toutes ses coutures. Son pelage est sale, ce dernier devait être surement blanc, mais tirait à présent plus vers le gris. Ses yeux rouge, brillait comme deux rubis, ce que je trouvais des plus amusant en fait. J’aime donner cette couleur particulière aux yeux de mes propres personnages. D’un coup de coude je referme la fenêtre, et dépose le chat au sol.

- Lâche ce truc immonde, tu ne sais pas ou ca à trainer. J’ai quelque chose de bien meilleur pour toi.

Il sortit ensuite de la pièce et revint avec un bol de lait qu’il déposa près du chat, il faisait des gestes lent, ne connaissant pas cet animal, il ne connaissait donc pas ses réactions. Puis il le laissa tranquille et retourna auprès de ses victimes de métal. Il essuya son clavier l’examinant pour enlever tout les poils qui s’y étaient glissés, puis rebrancha son écran d’ordinateur. Tout fonctionne parfaitement ! Ouf ! Rassurer, je m’assois dans mon fauteuil et me tourne vers le petit chaton.

- Comme tu t’appel toi ?... mh vu l’idiotie des gens d’ici ils ont du te donner un nom stupide… genre... Neige ? Blanche ? Ou encore Pure ?